Il a ensuite détaillé pour quelques territoires, qu’il a qualifiés de “colonies”, les “dégradations environnementales” causées par le gouvernement de Paris, citant notamment les essais nucléaires en Polynésie française ou en Algérie. Il a également accusé Emmanuel Macron d’être responsable des violences qui ont eu lieu en Nouvelle-Calédonie cette année.
“Le Parlement européen et l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe […] sont des symboles de corruption politique et partagent la responsabilité avec le gouvernement d’Emmanuel Macron pour le meurtre d’innocents”, a également considéré le dirigeant azerbaïdjanais.
Agnès Pannier-Runacher avait initialement annoncé qu’elle se rendrait à Bakou seulement avec une délégation réduite se rendrait à Bakou, ne pouvant se permettre “la politique de la chaise vide”. Emmanuel Macron n’avait pas prévu de faire le déplacement, pour la première fois depuis l’accord de Paris, en 2015.
Zia Weise a contribué à cet article depuis Bakou.